Fragments sur les campagnes d'Italie et de Hongrie

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Imprimerie centrale de Napoléon Chaix, 1851 - Всего страниц: 191

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Популярные отрывки

Стр. 44 - And there lay the rider distorted and pale, With the dew on his brow, and the rust on his mail; And the tents were all silent, the banners alone, The lances unlifted, the trumpet unblown.
Стр. 48 - Si j'ai jamais conduit une cohorte, Je veux, mes enfants, que le diable m'emporte , Je veux bien que le diable m'emporte.
Стр. 90 - Tis the last rose of summer Left blooming alone ; All her lovely companions Are faded and gone ; No flower of her kindred, No rose-bud is nigh, To reflect back her blushes, Or give sigh for sigh. I'll not leave thee, thou lone one ! To pine on the stem; Since the lovely are sleeping, Go, sleep thou with them. Thus kindly I scatter Thy leaves o'er the bed, Where thy mates of the garden Lie scentless and dead. So soon may...
Стр. 147 - Soldier, rest ! thy warfare o'er, Sleep the sleep that knows not breaking ; Dream of battled fields no more, Days of danger, nights of waking. In our isle's enchanted hall, Hands unseen thy couch are strewing, Fairy strains of music fall, Every sense in slumber dewing. Soldier, rest ! thy warfare o'er...
Стр. 47 - Ainsi les derniers seront les premiers, et les premiers les derniers, car beaucoup sont appelés, mais peu sont élus.
Стр. 89 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
Стр. 81 - J'ai trouvé la Russie rivière, je la laisse fleuve; mes successeurs en feront une grande mer destinée à fertiliser l'Europe appauvrie, et ses flots déborderont malgré toutes les digues que des mains affaiblies pourront leur opposer, si mes descendants savent en diriger le cours.
Стр. 47 - Prends ce qui est à toi, et t'en va ; mais je veux donner à ce dernier autant qu'à toi. Ne m'est-il pas permis de faire ce que je veux de ce qui est à moi...
Стр. 91 - WHEN through life unblest we rove, Losing all that made life dear, Should some notes we used to love In days of boyhood meet our ear, Oh ! how welcome breathes the strain ! Wakening thoughts that long have slept ; Kindling former smiles again, In faded eyes that long have wept...
Стр. 152 - Chinois de paravent que tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se brise.

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