Revue britannique, publ. par mm. Saulnier fils et P. Dondey-DupréSébastien Louis Saulnier 1867 |
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Стр. 42
... regard de la page 22 de l'ouvrage de M. Wood , un fort joli dessin représente une ville construite par le chien des prai- ries . Ce nom de ville est celui que les chasseurs donnent aux localités fréquentées par une intéressante petite ...
... regard de la page 22 de l'ouvrage de M. Wood , un fort joli dessin représente une ville construite par le chien des prai- ries . Ce nom de ville est celui que les chasseurs donnent aux localités fréquentées par une intéressante petite ...
Стр. 61
... regard de la page 201 , une planche de singes , d'oiseaux et de nids . M. Wood tient d'un témoin oculaire la description suivante des travaux de con- struction . L'espèce dont il s'agit est le ploceus ocularius ; c'est un petit oiseau ...
... regard de la page 201 , une planche de singes , d'oiseaux et de nids . M. Wood tient d'un témoin oculaire la description suivante des travaux de con- struction . L'espèce dont il s'agit est le ploceus ocularius ; c'est un petit oiseau ...
Стр. 132
... regards exploraient la chambre , comme s'il eût eu peur ou honte que quelqu'un nous entendît . « Une vieille , reprit - il , m'a dit un jour ma bonne aventure , et tout ce qu'elle m'a prédit est arrivé . Je ne devais pas réussir dans ...
... regards exploraient la chambre , comme s'il eût eu peur ou honte que quelqu'un nous entendît . « Une vieille , reprit - il , m'a dit un jour ma bonne aventure , et tout ce qu'elle m'a prédit est arrivé . Je ne devais pas réussir dans ...
Стр. 133
... regards les plus sup- pliants que j'eusse vus jamais . » On aurait dit que toute l'af- fection , toute la tendresse dont son âme était pleine et qui le faisaient aimer , aspiraient à cette source d'où elles étaient sorties pour venir ...
... regards les plus sup- pliants que j'eusse vus jamais . » On aurait dit que toute l'af- fection , toute la tendresse dont son âme était pleine et qui le faisaient aimer , aspiraient à cette source d'où elles étaient sorties pour venir ...
Стр. 152
... regard farouche et sa voix acerbe . Tu es donc , lui dit - il , venu de la Suède jusqu'ici pour étu- dier la botanique ? -Oui , répliqua Nils avec la plus confiante ingénuité . Je vais vous raconter ce qui est arrivé . » A ces mots , il ...
... regard farouche et sa voix acerbe . Tu es donc , lui dit - il , venu de la Suède jusqu'ici pour étu- dier la botanique ? -Oui , répliqua Nils avec la plus confiante ingénuité . Je vais vous raconter ce qui est arrivé . » A ces mots , il ...
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Стр. 487 - Une délicatesse superbe a donc rejeté une foule d'expressions et d'images. La langue, en devenant plus décente, est devenue plus pauvre; et comme les grands ont abandonné au peuple l'exercice des arts, ils lui ont aussi abandonné les termes qui peignent leurs opérations. De là la nécessité d'employer des circonlocutions timides, d'avoir recours à la lenteur des périphrases ; enfin d'être long, de peur d'être bas ; de sorte que le destin de notre langue ressemble assez à celui de ces...
Стр. 80 - Je vous préviens, citoyen, que je ne suis pas grosse. Je voulais vous le dire; n'espérant plus que vous veniez, je vous le mande. Je n'ai point sali ma bouche de ce mensonge dans la crainte de la mort ni pour l'éviter, mais pour me donner un jour de plus afin de couper moi-même mes cheveux, et de ne pas les donner coupés par la main du bourreau.
Стр. 354 - ... de bateaux remplis de musique , et suivie de mille petites barques à rames; chacune avait deux rameurs, tous vêtus comme l'étaient autrefois nos pages, avec des trousses et de petits pourpoints ornés d'une grande plaque d'argent sur l'épaule. Il n'y avait pas un de ces mariniers qui n'avertît par sa physionomie, par son habillement, et par son embonpoint, qu'il était libre, et qu'il vivait dans l'abondance.
Стр. 391 - Sur les bords de la forêt sombre, J'ai vu la source du vallon, Qui lentement coule dans l'ombre Et s'enfuit obscure et sans nom. L'été, son doux et frais murmure Souvent attire le passant, Qui savoure son onde pure Et s'éloigne en la bénissant. A travers les jours de voyage Qui nous mènent vers le tombeau, Puisse ma vie être l'image De cette obscure source d'eau ! Je laisse aux riches de la terre Un sort plus grand, plus envié ; Pour moi, mon Dieu, laisse-moi faire Quelque bien et vivre oublié.
Стр. 367 - Hervey, would you know the passion, You have kindled in my breast ? Trifling is the inclination That by words can be expressed. " In my silence see the lover ; True love is by silence known ; In my eyes you'll best discover, All the power of your own.
Стр. 354 - Lorsque je débarquai auprès de Londres, c'était dans le milieu du printemps; le ciel était sans nuages, comme dans les plus beaux jours du midi de la France; l'air était rafraîchi par un doux vent d'occident, qui augmentait la sérénité de la nature, et disposait les esprits à la joie : tant nous sommes machines, et tant nos âmes dépendent de l'action des corps!
Стр. 371 - Le poëme, dans l'origine, commençait par six vers entortillés et qui avaient le tort d'être faibles. Un Grec smyrniote, du nom de Dadiky, interprète du roi d'Angleterre, ayant eu sous la main, tandis qu'on les composait, les premières feuilles de la Henriade, fut choqué de ce début malheureux, du second vers surtout, et avec la vivacité d'imagination des gens de sa nation, il alla trouver Voltaire et lui dit sans autre préambule : «Monsieur, je suis du pays d'Homère; il ne commençait...
Стр. 420 - Parfois aussi, d'après Emile Morice, on voyait plusieurs théâtres les uns à côté des autres, ayant chacun plusieurs étages. Mais il n'y aurait qu'une seule mention positive de cette dernière forme, c'est à Angers, en 1468, lors des célèbres représentations...
Стр. 486 - Il y avait peu de ces termes bas dont les grands dédaignassent de se servir; et des expressions populaires n'auraient pas signifié, comme parmi nous, des expressions triviales.
Стр. 354 - Je m'arrêtai près de Greenwich, sur les bords de la Tamise. Cette belle rivière qui ne se déborde jamais, et dont les rivages sont ornés de verdure toute l'année, était couverte de deux rangs de vaisseaux marchands durant l'espace de six milles; tous avaient déployé leurs voiles pour faire honneur au roi et à la reine qui se promenaient sur la rivière dans une barque dorée...