On n'avait jamais entendu , jamais vu , jamais lu que , dans les » temps anciens, une telle multitude de gens fût morte : le mal semblait » provenir et de l'imagination et de la contagion; car, quand un sain... Histoire de France - Стр. 447авторы: abbe Antoine Eugene de Genoude - 1846Полный просмотр - Подробнее о книге
| Jean Charles L. Simonde de Sismondi - 1828 - Страниц: 660
...aisselles ou à l'aine , et dès qu'il se formoit , « c'étoit un signe infaillible de mort « On n'avoit jamais entendu, jamais vu, jamais « lu que , dans les temps anciens , une telle mul« titude de gens fût morte : le mal sembloit pro« venir et de l'imagination et de la contagion... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi, Amédée Renée - 1828 - Страниц: 664
...aisselles ou à l'aine , et dès qu'il se fprmoit , « c'étoit un signe infaillible de mort « On n'avoit jamais entendu, jamais vu, jamais « lu que , dans les temps anciens , une telle mul« titude de gens fût morte : le mal sembloit pro« venir et de l'imagination et de la contagion;... | |
| 1835 - Страниц: 572
...tout-à-coup aux aisselles ou à Vaine , et dès qu'il se formait , c'était un signe infaillible de mort. Le mal semblait provenir et de l'imagination et de la contagion ; car si un bien-portant visitait un malade, il était rare qu'il échappât, etc. » (i) II est vrai de... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde de Sismondi - 1828 - Страниц: 656
...aisselles ou à l'aine , et dès qu'il se formoit , « c'étoit un signe infaillible de mort « On n'avoit jamais entendu, jamais vu, jamais « lu que , dans les temps anciens, une telle mul« titude de gens fût morte : le mal sembloit pro« venir et de l'imagination et de la contagion... | |
| Henri Martin - 1844 - Страниц: 618
...le portait à la fosse ; sitôt qu'une tumeur se levait à l'aine ou aux aisselles, on était perdu. On n'avait jamais entendu, jamais vu , jamais lu , que dans les temps passés une telle ment de ses calamités : c'était alors une époque éclatante , sinon heureuse ,... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde de Sismondi - 1847 - Страниц: 546
...à coup aux aisselles on à l'aine, et dès qu'il se » formait, c'était un signe infaillible de la mort » On n'avait jamais entendu , jamais vu , jamais...dans beaucoup de lieux, sur vingt hommes, il n'en res1 Froissart, t. III, c. 5, p. 22. » fait pas deux en vie : dans l'hôtel-Dieu de Paris, la mortalité... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - 1847 - Страниц: 542
...à coup aux aisselles ou à l'aine, et dès qu'il se » formait, c'était un signe infaillible de la mort » On n'avait jamais entendu , jamais vu , jamais...temps anciens, une telle multitude de gens fût morte : lemal semblait » provenir et de l'imagination et de la contagion ; car, quand un sain » visitait... | |
| Eugène Rougebief - 1851 - Страниц: 928
...le portait à la fosse; sitôl qu'une tumeur s'élevait à l'aine ou aux aisselles, on était perdu. On n'avait jamais entendu, jamais vu, jamais lu que, dans les temps passés, une telle niullitudede gens eussent péri : le mal, que les médecins nommaient épidémie,... | |
| Eugène Rougebief - 1851 - Страниц: 758
...le portait à la fosse; sitôt qu'une tumeur s'élevait à l'aine ou aux aisselles, on était perdu. On n'avait jamais entendu, jamais vu, jamais lu que, dans les temps passés, une telle multitude de gens eussent péri : le mal, que les médecins nommaient épidémie,... | |
| Amédée Gabourd - 1864 - Страниц: 638
...jours; le plus souvent ils mouraient subitement, tandis qu'on les croyait encore sains et saufs... On n'avait jamais entendu, jamais vu, jamais lu que,...provenir et de l'imagination et de la contagion... Dans plusieurs villes et villages les prêtres s'éloignaient pour ne pas administrer les mourants... | |
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