Collection des chroniques nationales français: écrites en langue vulgaire du treizième au seizième siècle, Том 10

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Jean Alexandre C. Buchon
Verdière [et] J. Carez, 1824

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Стр. 261 - ... Les aucuns des autres disoient à l'encontre que ce seroit grand'folie s'il se combattoit, car il ne savoit que chacun pensoit, ni si point trahison y avoit : car si fortune lui étoit contraire, il mettoit son royaume en aventure de perdre, et si il...
Стр. 410 - Car li haïrons est tels, de nature, toudis, « Si tost qu'il voit son umbre, il est tous estordis: « Tant fort s'escrie, et brait, coms'il...
Стр. 262 - Donc, il, comme roi plein de grand'connoissance, et qui doutoit (craignoit) ce péril et le dommage du roi de France son cousin , avoit envoyé jà de long temps moult soigneusement lettres et épitres au roi Philippe et à son conseil, que nullement ils ne se combattissent contre les Anglois là où le corps d'Edouard fut présent...
Стр. 212 - Anglois qui étoient en Brabant de-lez (près) le roi, s'épandirent à val (enbas) le pays de Flandre et de Hainaut en tenant grand état et en faisant grands frais, et n'épargnoient ni or ni argent, non plus que s'il leur plût des nues...
Стр. 125 - Boncques des seize mille Flamands qui morts y demeurèrent n'en recula un seul, que tous ne fussent morts et tués en trois monceaux l'un sur l'autre, sans issir (sortir) de la place là où chacune bataille commença, qui fut l'an de grâce mil trois cent vingt huit, le jour saint Barthelemy (l).
Стр. 185 - ... (attendoient) en la rue, jusques adonc qu'il vouloit aller aval (en bas) la rue , jouer et ébattre parmi la ville; et ainsi le conduisoient jusques au souper. Et sachez que chacun de ces soudoyés (soldats) avoit chacun jour quatre compagnons ou gros de Flandre pour ses frais et pour ses gages; et les faisoit bien payer de semaine en semaine. Et aussi avoit-il par toutes les villes de Flandre et les...
Стр. 421 - Adonc, dist la Roine, je-sai bien, que piecha, « Que sui grosse d'enfant, que mon corps senti l'a, « Encore n'a il gaires, qu'en mon corps se tourna, « Et je voue, et prometh a Dieu, qui me créa, « Qui nasqui de la Vierge, que ses corps n'enpira, « Et qui morut en crois, on le crucifia,
Стр. xxxi - Angleterre) par le pays , etc. , ont été abrégés par le copiste, qui s'est même permis quelquefois de déranger l'ordre des événements. Le reste du manuscrit est assez correct et fournit de bonnes leçons. Il contient à peu près le tiers du premier volume de Froissart et finit avant le récit de la bataille de Crécy,à ces mots du chapitre 287 , vous devez savoir que ces seigneurs , roys, ducs, contes et barons François ne vindrent mie jusques là tous ensemble, etc. III.N».
Стр. 214 - ... encourtinée de beaux draps comme la chambre du roi ; et fut le roi anglois assis, la couronne d'or moult riche et moult noble sur son chef , plus haut cinq pieds que nul des autres , sur un banc d'un boucher , là où il tailloit et vendoit sa chair. Oncques telle halle ne fut à si grand honneur (1).
Стр. 331 - Le siredeBeaumontqui véoit (voyoit) son neveu en grand désir de combattre ses ennemis, lui accorda volontiers, et dit qu'il iroit et feroit le message. Si vint à son logis et s'appareilla bien et faiticement (régulièrement), lui troisième de chevaliers tant seulement , le sire de Fagnoelles et messire Flourent de Beaurieu , et un autre chevalier qui portoit son pennon devant lui, montés sur bons coursiers, et chevauchèrent ainsi sur le rivage d'Escaut. Et avint que de l'autre part le sire...

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