managed so as to conclude with a striking turn of thought. For this kind of writing he justly cites the French as peculiarly excellent; and it may not be improper to give a few cimens of their songs, by way of comparison with ours of a similar turn. spe Quand le sage Damon dit, que d'un trait mortel, Mais quand le jeune Atis me vient dire à son tour, Que je le trouve redoutable! Dieu des amants, viens accorder ma lyre, A mes accents rend la belle attentive, Fai moi trouver la route de son cœur ; Qui lui defend d'écouter ma langueur. Va, dit Amour, j'exauce ta prière, Tu recevras le prix que tu prétends: Pourriez vous bien être encore inflexible, La Raison n'est pas raisonable, Bien fou qui s'en laisse charmer, Aime Iris, dit l'Amour, puisque elle a su te plaire, Ma foi, l'Amour sur cette affaire Raisonne mieux que la Raison. Tircis, votre langueur extrême Le berger qui suivoit mes loix Je me plaindrois avec éclat, Pensez y bien, jeune Climène, Remplissez mes tendres désirs; Helas! si près de vous j'allois perdre må peine Vous perderiez mille plaisirs. Autrefois la charmante Hortense, Dont mille amants formoient la cour, Par une heureuse préférence, Me donna des leçons d'amour. Par elle j'appris l'art de plaire, Elle m'avoit instruit à peine De ces doux mystères d'amour, J'en fis des leçons à mon tour. Mais en l'instruisant comme on aime Ismène eut toute ma tendresse, Pourquoi soupirez vous, charmante Celimène ? Je guerirois aussi des maux que je ressens. Quand tu vois soupirer la triste Celimène C'est que l'amour la livre aux sensibles tourments; Ah! s'il m'étoit permis de soulager ta peine, Je guerirois aussi des maux que je ressens. |