Œuvres, Том 6Giguet et Michaud, 1800 |
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Стр. 85
... mers par ses hardis travaux . Non , l'Égypte et son lac , le Nil et ses merveilles Jamais de tels récits n'ont frappé les oreilles . Là , par un art magique , à vos yeux sont offerts Des fleuves sur des ponts , des vaisseaux dans les ...
... mers par ses hardis travaux . Non , l'Égypte et son lac , le Nil et ses merveilles Jamais de tels récits n'ont frappé les oreilles . Là , par un art magique , à vos yeux sont offerts Des fleuves sur des ponts , des vaisseaux dans les ...
Стр. 86
... mers qui joignent les deux mondes ! Mais ces fleuves féconds sont souvent destructeurs : Sachez donc réprimer ces flots dévastateurs . Tout connut ce bel art , et l'antiquité même En présente à nos yeux l'ingénieux emblème . Du fabuleux ...
... mers qui joignent les deux mondes ! Mais ces fleuves féconds sont souvent destructeurs : Sachez donc réprimer ces flots dévastateurs . Tout connut ce bel art , et l'antiquité même En présente à nos yeux l'ingénieux emblème . Du fabuleux ...
Стр. 88
... , Présente une barrière au fougueux élément . S'il n'a plus ces rameaux et ces pompeux feuillages Qui paroient le printemps et bravoient les orages , Sa tige dans les mers soutient d'autres assauts , Et 88 SECOND CHAN T.
... , Présente une barrière au fougueux élément . S'il n'a plus ces rameaux et ces pompeux feuillages Qui paroient le printemps et bravoient les orages , Sa tige dans les mers soutient d'autres assauts , Et 88 SECOND CHAN T.
Стр. 89
Jacques Delille. Sa tige dans les mers soutient d'autres assauts , Et brise fièrement la colère des eaux . Là d'un long mur de joncs l'ondoyante souplesse , Puissante par leur art , forte par sa foiblesse , Sur le bord qu'il menace ...
Jacques Delille. Sa tige dans les mers soutient d'autres assauts , Et brise fièrement la colère des eaux . Là d'un long mur de joncs l'ondoyante souplesse , Puissante par leur art , forte par sa foiblesse , Sur le bord qu'il menace ...
Стр. 99
... mers les tributs de leurs sources , Entraînèrent des corps l'un à l'autre étrangers , Quelques - uns plus pesans , les autres plus légers . Les uns au fond de l'eau tout à coup se plongèrent ; Quelque temps suspendus les autres ...
... mers les tributs de leurs sources , Entraînèrent des corps l'un à l'autre étrangers , Quelques - uns plus pesans , les autres plus légers . Les uns au fond de l'eau tout à coup se plongèrent ; Quelque temps suspendus les autres ...
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Часто встречающиеся слова и выражения
९९ æquora agaric amours animaux arbres arva atque avoit beautés beaux jours beaux lieux belle bois bois pétrifié bonds brillant bruit Buffon Cérès cerf cervus champêtres champs chant charme chéris cieux cœur connoissances connoît coquilles coteaux course d'autres débris déserts différentes Dolon douce doux eaux embellir enfans enfin Éole errante espèces étoit féconde feuilles fleurs fleuves flots forêts forme frimats fruits fucus Géorgiques gloire goût hameau heureux Imitez insectes jardins jeune jeux l'air l'amour l'animal l'art l'homme l'onde lavanges Limagne loin long-temps luzerne Lycoris marbre montagnes monts mouche nature nautile Nayades Note de l'auteur objets ondes Palès paroissent pedum peuple pierreuse plaisirs plantes poëme poësie poëte poëtiques polypes qu'un quelquefois racines rameaux rians riches rivaux rochers rocs Rome antique ruisseaux s'élance sait séjour seul silvis substances Tantôt terre thuya torrens traduction trésors triste troupeaux vallons vaste végétaux verdure vestigia Virgile volcans vole yeux
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Стр. 171 - To them his heart, his love, his griefs were given, But all his serious thoughts had rest in Heaven. As some tall cliff that lifts its awful form, Swells from the vale, and midway leaves the storm...
Стр. 172 - Yet he was kind, or, if severe in aught, The love he bore to learning was in fault...
Стр. 169 - Near yonder copse, where once the garden smiled, And still where many a garden flower grows wild ; There, where a few torn shrubs the place disclose, The village preacher's modest mansion rose. A man he was to all the country dear, And passing rich with forty pounds a year; Remote from towns he ran his godly race, Nor e'er had changed, nor wished to change, his place.
Стр. 248 - La plus noble conquête que l'homme ait jamais « faite, est celle de ce fier et fougueux animal, qui « partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire
Стр. 171 - At church, with meek and unaffected grace, His looks adorn'd the venerable place; Truth from his lips prevail'd with double sway, And fools, who came to scoff, remain'd to pray.
Стр. 172 - While words of learned length, and thund'ring sound, Amaz'd the gazing rustics rang'd around ; And still they gaz'd, and still the wonder grew, That one small head could carry all he knew.* But pass'd is all his fame.
Стр. 171 - Beside yon straggling fence that skirts the way, With blossom'd furze unprofitably gay, There, in his noisy mansion, skilled to rule, The village master taught his little school. A man severe he was, and stern to view ; I knew him well, and every truant knew...
Стр. 243 - ... tum, si qua sonum procul arma dedere, stare loco nescit, micat auribus et tremit artus, collectumque fremens volvit sub naribus ignem. 85 densa iuba, et dextro iactata recumbit in armo ; at duplex agitur per lumbos spina, cavatque tellurem et solido graviter sonat ungula cornu.
Стр. 172 - The village master taught his little school. A man severe he was, and stern to view, I knew him well, and every truant knew : Well had the boding tremblers...
Стр. 171 - The reverend champion stood. At his control Despair and anguish fled the struggling soul ; Comfort came down the trembling wretch to raise, And his last faltering accents whispered praise.