Chroniques de Froissart, Том 1

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Verdière, J. Carez, 1824

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Стр. 262 - Les aucuns des autres disoient à l'encontre que ce seroit grand'folie s'il se combattoit, car il ne savoit que chacun pensoit, ni si point trahison y avoit : car si fortune lui étoit contraire, il mettoit son royaume en aventure de perdre, et si il...
Стр. 263 - Donc, il, comme roi plein de grand'connoissance, et qui doutoit (craignoit) ce péril et le dommage du roi de France son cousin , avoit envoyé jà de long temps moult soigneusement lettres et épitres au roi Philippe et à son conseil, que nullement ils ne se combattissent contre les Anglois là où le corps d'Edouard fut présent...
Стр. 146 - Ces lettres rapportèrent enFrance les dessus nommés seigneurs, quand ils se partirent d'Angleterre, et ils eurent congé du roi; et les baillèrent au roi de France , qui tantôt les fit porter en sa chancellerie et mettre en garde avec ses plus spéciales choses à la cautelle (garde) du temps avenir. Nous nous souffrirons à parler du roi d'Angleterre un petit, et parlerons d'aucunes aventures qui avinrent en France. CHAPITRE LIV. COMMENT LE ROI DE FRANCE PRIT EN HAINE...
Стр. 214 - Et n'épargnoient ni or ni argent, non plus que s'il leur plût des nues, et donnaient grands joyaux aux seigneurs et dames et demoiselles, pour acquérir la louange de ceux et de celles entre qui ils conversoient ; et tant faisoient qu'ils l'avoient et étoient prisés de tous et de toutes, et mêmement du commun peuple à qui ils ne donnoient rien, pour le bel état qu'ils menoient 2.
Стр. 323 - ... et n'osoient les compagnons qui le gardoient demeurer en chambre et en salle qu'ils eussent, fors en caves et en celliers. Oncques gens d'armes ne souffrirent pour leur honneur en forteresse autant de peine ni de meschef que cils (ceux-ci) faisoient. Desquels étoit souverain...
Стр. 2 - Mais ains (avant) que je la Commence, je requiers au Sauveur de tout le monde, qui de néant créa toutes choses, qu'il veuille créer et mettre en moi sens et entendement si vertueux que ce livre que j'ai commencé, je le puisse continuer et persévérer en telle manière que tous ceux et celles qui le liront, verront et orront (entendront) y puissent prendre ébatement et plaisance, et je encheoir (tomber) en leur grâce.
Стр. 336 - George ; car voirement (vraiment) m'ont-ils fait tant de contraires que j'en vueil (veux) prendre la vengeance, si je y puis avenir. » Lors fit le roi ordonner tous ses vaisseaux et mettre les plus forts devant, et fit frontière à tous côtés de ses archers; et entre deux nefs d'archers en y avoit unede gensd'armes; et encorefit-il une bataille surcôtière, toute pure d'archers, pour réconforter, si mestier (besoin) étoit, les plus lassés.
Стр. 126 - Peut-être avez-vous donné occasion à la révolte par votre négligence à rendre la justice que vous devez à vos peuples : c'est ce que je ne veux point examiner pour le présent. Il m'a fallu faire de grandes dépenses pour une...
Стр. 123 - ... hauts barons de France eussent conseil et avis entre eux d'en ordonner, et donnassent le royaume à celui qui avoir le devoit.
Стр. 174 - Berwick^ et en plusieurs chevauchées d'Ecosse. Si étoient nouvellement retournés en Angleterre et ennortoit (exhortoit) et conseilloit le dit messire Robert tempre (tôt) et tard le roi qu'il voulut défier le roi de France, qui tenoit son héritage à grand tort; dont le roi eut plusieurs fois conseil par grand'délibération, à ceux qui étoient ses plus secrets et spéciaux conseillers, comment il se pourroit maintenir du tort qu'on lui avoit fait du royaume de France en sa jeunesse, qui par...

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